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Cest pas sorcier - Mystères de la Science : un jeu de cartes à énigmes !Les Mystères de la Science décryptés avec Fred et Jamy de 'Cest Pas Sorcier' : voilà de quoi ravir les petits et grands, curieux et passionnés de découvertes !Découvrez tous les mystères de la science avec ce jeu d'énigmes drôle et instructif sous l'angle de l'émission C'est pas sorcier ! Chaque joueur à
PHOTOS Défense des animaux: happening sanglant contre la consommation de viande à Paris. VIDÉO. Une boulette de viande créée in vitro.
Lesfilières de la viande, série "C'est pas sorcier" 2000 français Réalisé par Christine Berthollier 0h26 Documentaire Ce film n'a pas été vu par Télérama Synopsis Comment savoir d'où
21mrt-2017 - La chaine officielle de l'émission de France 3.C'est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science.Fred et Jamy nous offrent un petit éclairciss
Lesglobules rouges livrent l’oxygène et récupèrent du dioxyde de carbone. Puis le sang revient vers le cœur, aspiré par l’oreillette droite qui se contracte. Le sang passe dans le ventricule puis il est expulsé vers les poumons. Débarrassés du dioxyde de carbone, ils font le plein d’oxygène. Pour transporter l’oxygène, on a besoin de fer que l’on trouve dans la viande, le
EntreRoussillon et Rustrel, Fred, Jamy et Sabine sont partis à la découverte des gisements d'ocre qui, avec leurs cheminées de fées et leur fabuleuses couleurs
Cest pas sorcier -FILIERES DE LA VIANDE C'est pas sorcier Suivre La chaine officielle de l'émission de France 3. C'est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science. Fred et Jamy nous offrent un petit éclaircissement sur la viande que nous mangeons.
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Tu manges autant de viande qu’avant, toi ? » À l’exception de quelques inconditionnels de la bonne bidoche ou des tablées modestes où la viande demeure un produit trop cher pour être banal, on peut parier que beaucoup répondront Ah non, moi j’en mange beaucoup moins ! » Et de fait, si l’on s’en tient aux statistiques, les Français ont réduit leur consommation de chair animale depuis deux décennies entre 1998 et 2014, elle est ainsi passée, dans notre pays, de 94 kg ec/hab/an kilo équivalent carcasse par habitant et par an à 86 kg ec/hab/an 1.Sauf que cette baisse est intervenue après une explosion de la consommation de produits carnés dans la deuxième moitié du XXe siècle – on revient donc de loin ! Et que les impératifs environnementaux sont venus rebattre les cartes. D’après l’organisation WWF, la consommation de viande et de lait mobilise plus de 80 % de la surface agricole utile » à notre alimentation dans le monde. Ou, pour le dire d’une autre manière 2,5 à 10 kg de protéines végétales sont nécessaires pour produire… un seul kilo de protéines animales. Sans parler des émissions de gaz à effet de serre – l’organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation FAO estime que, toutes filières de production confondues, l’élevage représente aujourd’hui 14,5 % des émissions mondiales relatives à l’activité enjeu de santé publiqueDans un tel contexte, l’idée qu’il serait bon de manger moins de viande dans nos pays riches commence à gagner les esprits… Mais on ne sait pas très bien ce que cela signifie. Retour à la table familiale pour mesurer le brouillard. Agnès, 75 ans Pour moi, la viande, c’est la viande rouge ; le steak, quoi. J’ai grandi après-guerre, et en avoir une assiette bien garnie était très important. Mais, depuis quelques années, j’en mange moins. »Pour cette Parisienne, une tranche de jambon ou un blanc de poulet, ça ne compte pas vraiment. Alors que pour sa petite-fille Lucie, 15 ans, il faut prendre en compte toute la chair animale, y compris les lardons dans la quiche ». Pour l’adolescente, manger moins de viande a donc une autre signification privilégier, dans la semaine, plusieurs jours lors, comment s’y retrouver ? Et peut-on objectiver » le moins de viande » ? Du point de vue de la santé, oui. En se fiant notamment au PNNS, le Programme national nutrition santé 2019-2023. Il recommande de diminuer la consommation de viande rouge » pour ne pas dépasser 500 g par personne par semaine. Par viande rouge », il faut entendre le bœuf, le porc, le veau, le mouton, la chèvre, le cheval, le sanglier et la biche. Donc hors volaille. Le PNNS recommande également moins de 150 g de charcuterie par semaine. Manger de la viande n’est pas mauvais en soi, mais une consommation excessive comporte des risques », explique Jean-Michel Lecerf, chef du service de nutrition de l’Institut Pasteur de Lille 2. Parmi eux, celui de développer un cancer du côlon, une maladie cardiovasculaire ou un diabète de type 2. Ce n’est pas seulement lié au produit lui-même, tient à préciser le médecin, mais aussi au fait qu’une consommation trop importante de viande rouge va souvent de pair avec un moindre équilibre alimentaire et des modes de cuisson à éviter, comme les grillades. » Un nouvel équilibre »Soit. Mais si l’on prend en compte l’enjeu environnemental ? On pourrait aller plus loin et recommander une baisse plus importante que le repère actuel de 500 g par semaine », estime le professeur François Mariotti, spécialiste de nutrition à AgroParisTech, qui rappelle que la santé humaine s’inscrit dans la santé globale » du vivant. D’autant que Jean-Michel Lecerf le confirme du point de vue sanitaire, hormis quelques populations les enfants, les adolescents, les personnes âgées et les femmes enceintes, il est possible de se passer de viande si l’on mange par ailleurs des œufs et des produits un rapport de 2017, le think tank Terra Nova propose un nouvel équilibre » pour répondre au double défi santé/environnement. Comment ? En inversant le ratio actuel de protéines animales et végétales » ; soit une alimentation où 60 % des protéines seraient d’origine végétale, contre 40 % aujourd’hui 3. Un repère simple que les deux scientifiques, à Lille et AgroParisTech, estiment intéressant ». On ne peut pas demander à tout le monde de devenir végétarien, souligne de son côté Thierry Pech, le directeur du think tank, qui travaille de longue date sur la transition alimentaire. La nourriture, c’est aussi le plaisir, le terroir et l’imaginaire. » Le ratio proposé se veut donc accessible, compromis entre les traditions alimentaires », les exigences sanitaires », les impératifs environnementaux » et les intérêts économiques », précise Terra Nova, qui n’oublie pas, dans ses travaux, de prendre en compte les conséquences pour les éleveurs 4.
Publié le 2 juillet 2022 à 18h11Source JT 20h SemaineSelon un décret paru au Journal officiel ce jeudi 30 juin, les produits à base de protéines végétales ne pourront bientôt plus être appelés "steak", "lardons" ou encore "saucisse".Un texte demandé depuis des années par les professionnels des filières animales, et qui entrera en vigueur le 1er ne verrez bientôt plus dans les rayons de "steaks végétal" ou encore de "saucisses vegan". Les produits à base de protéines végétales ne pourront bientôt plus être appelés "steak", "lardons" ou encore "saucisse", selon un décret paru au Journal Officiel ce jeudi 30 juin, très attendu et salué par les filières animales. "Il ne sera pas possible d'utiliser la terminologie propre aux secteurs traditionnellement associés à la viande et au poisson pour désigner des produits n'appartenant pas au règne animal", indique le texte. Le décret, qui entrera en vigueur le 1er octobre 2022, permet toutefois la commercialisation des "denrées fabriquées ou étiquetées" avant cette date jusqu'au 31 décembre 2023 au plus aussiLe texte était attendu "depuis plusieurs années" et constitue "une étape essentielle en faveur de la transparence de l'information au consommateur ainsi que de la préservation de nos produits et savoir-faire", s'est félicité Jean-François Guihard, président d'Interbev, l'association interprofessionnelle du bétail et des viandes. De la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles FNSEA aux professionnels de la volaille, tous les grands syndicats des filières animales saluent ce texte, mais demandent au gouvernement de "porter le dossier à Bruxelles afin d'élargir le périmètre d'application à tous les produits, quelle que soit leur origine", selon un communiqué commun. Le décret publié précise en effet que les produits "légalement fabriqués ou commercialisés dans un autre État membre de l'Union européenne ou en Turquie, ou légalement fabriqués dans un autre État partie à l'accord sur l'Espace économique européen, ne sont pas soumis aux exigences du présent décret".Les filières animales demandent l'élargissement de la mesure au niveau européenLes professionnels de la filière porcine considèrent que ce décret n'est qu'une "première étape de protection des dénominations traditionnelles de recettes à base de viande" en France et qu'il sera nécessaire "d'élargir cette mesure au niveau européen". L'interprofession porcine estime en outre que la loi doit également "protéger les dénominations animales par rapport aux aliments artificiels de synthèse", soit les "viandes" dites de "laboratoire", obtenues par la culture de cellules animales, mais aussi de protéines microbiennes ou fongiques. À contrario, l'Observatoire national de l'alimentation végétale Onav regrette que le décret "place la France dans une position conservatrice, à contre-courant des enjeux actuels et de la politique européenne sur ces questions".Viande végétale que contient-elle vraiment ?Source JT 20h WEAu sein de l'Union européenne, la dénomination des produits végétaux par des termes traditionnellement réservés à la viande animale est autorisée, à l'exception des produits à base de lait animal. Par exemple il n'est pas possible d'utiliser le mot "yaourt" ou "fromage" pour un simili végétal. Le décret précise par ailleurs la teneur maximale de protéines végétales autorisées pour garder les dénominations – issues du code des usages des viandes – pour les denrées d'origine animale mais contenant une part de protéines végétales. Ainsi, un steak de viande hachée pourra continuer à s'appeler steak à condition que sa teneur en protéines végétales ne dépasse pas les 7%. Un pourcentage qui passe à 3% pour la saucisse de Francfort, 1% pour le boudin noir ou le saucisson sec, et à 0,5% pour le bacon ou les avec AFPSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
Les éleveurs français s’inquiétent de la place prise par les importations, souvent de pays dont les standards de qualité ou de bien-être animal sont moins élevés. Un voile d’opacité est-il en train de s’abattre sur les rayons de nos supermarchés ? Les cordons-bleus, jambons crus, cassoulets en conserve, pizzas, sandwichs au jambon préemballés… Bref, tous les produits transformés sont débarrassés d’une contrainte depuis le début de l’année celle d’indiquer l’origine de la viande qu’ils contiennent. Cette obligation de transparence aura duré cinq ans. Elle avait été instaurée début 2017, peu de temps après la fameuse affaire des lasagnes à la viande de cheval. À l’époque, cette fraude d’ampleur avait révélé les zones d’ombre de certains circuits d’approvisionnement de l’industrie agroalimentaire après être passé dans les mains d’un trader néerlandais, du cheval roumain avait été revendu comme du boeuf… La falsification avait touché des lasagnes de marque Findus mais aussi, on s’en souvient moins, des dizaines d’autres références de produits couscous, moussaka, hachis parmentier, raviolis… de grandes marques comme de celles de distributeurs. Consommateurs et éleveurs déplorent ce recul réglementaire La mention de l’origine fait aujourd’hui les frais d’une réglementation européenne défavorable. Elle n’était en vigueur en France qu’à titre “expérimental”. Et c’est l’expérimentation autorisée par Bruxelles qui a pris fin en catimini le 31 décembre dernier. Elle bénéficiait pourtant du soutien des associations de consommateurs comme des éleveurs. “Les consommateurs ont soif de transparence sur la manière dont sont fabriqués les aliments transformés, autant sur leur recette que sur l’origine des ingrédients”, assure Olivier Andrault, chargé de mission alimentation à l’UFC-Que Choisir. Les représentants des différentes filières boeuf, porc, volaille contactés par L’Express déplorent aussi ce recul réglementaire. …
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